Hommage à Fairuz par Mazzica Orchestra - Rami Khalifé

Bouches-du-Rhône » Spectacles et Théâtre

Une proposition de la Ville de Marseille dans le cadre de l'Été marseillais. Pour la deuxième année, retrouvez la Scène sur l’eau amarrée sur le Vieux-Port en face de l’Hôtel de Ville.

Marseille invite Beyrouth

- Hommage à Fairuz par Mazzica Orchestra

Fairouz, cette voix envoûtante au timbre séraphique, tel un ruban de soie à la fois doux, fin et touchant par sa fragilité. Avec les frères
Rahbani, elle forme un tandem de légende, dont l’œuvre sera
incroyablement riche et dont le style est précurseur.

Reconnaissables entre mille, ses ritournelles sont un mélange d’univers musicaux aussi divers que variés allant de tradition arabe à la musique classique occidentale, le tout sur un fond de folklore libanais. Autant dire, une voix universelle. Par sa voix d’ange, sa sensibilité et son charisme, la Diva restera à
tout jamais un monument de la chanson arabe ; ou ''l’ambassadrice du Liban auprès des étoiles'', comme le disait Mohamed Abdelwahab.

Mazika Orchestra
En 2007, trois musiciens-interprètes se rencontrent pour la première fois à Paris et échangent leurs expériences artistiques et scéniques. Ils décident alors de créer Mazzika, un orchestre de
musique orientale, mélangeant des cultures musicales
d'orient et du Maghreb. Mazzika est aujourd'hui un orchestre intégrant une vingtaine d'artistes appartenant à différentes origines culturelles.

- Rami Khalifé

Le pianiste et compositeur inclassable, membre du duo Aufgang, est né à Beyrouth en 1981. Il est le fils de Marcel Khalifé, icône de la chanson arabe au Moyen-Orient, artiste sacré “Unesco Artist for Peace”, et le frère du musicien Bachar Mar Khalifé. Depuis quelques années, après ses études au Conservatoire de Boulogne- illancourt et à la Julliard School de New York où il découvre l’électro et rencontre Francesco Tristano avec qui il fondera Aufgang, il poursuit une carrière internationale comme pianiste et compositeur de musique qui transgresse les limites.
L’ensemble de son travail se nourrit de son vécu à Beyrouth pendant la guerre du Liban, et de son brutal exil à Paris à l’âge de 8 ans.